La sobriété numérique - Cours Enjeux

La sobriété numérique; data center; déchets électroniques; l’empreinte carbonne du numérique; enjeux du numérique; le numérique; La loi REEN; réduire l’empreinte environnementale du numérique; les DEEE; OpenAi

La sobriété numérique: est une démarche qui vise à réduire l’impact environnemental du numérique en limitant ses usages, et constitue l’un des aspects de l’informatique durable.

Data center: est une installation physique utilisée par les entreprises pour héberger des applications et des données stratégiques.

Déchets électroniques: sont des déchets d’équipements électriques et électroniques, par exemple les produits d’électroménager, les ordinateurs, les congélateurs de votre supermarché, la chaise électrique de votre dentiste, ou les centraux téléphoniques de France Télécom.

L’empreinte carbonne du numérique: Ainsi, appliquée au numérique, l’empreinte carbone désigne la quantité de gaz à effet de serre traduite en dioxyde de carbone (CO2e) émises par les activités liées aux technologies de l’information et de la communication (TIC).

Le numérique: il recouvre à la fois les sciences et technologies de l’information et de la communication (informatique, électronique, télécommunications). Le périmètre du numérique est donc plus large que celui de l’informatique.

La loi REEN: la loi REEN s’adresse à tous les acteurs de la chaîne de valeur du numérique : professionnels du secteur, acteurs publics et consommateurs, et s’articule autour de cinq objectifs clés.

OpenAI: est une société fondée en 2015 par plusieurs entrepreneurs, dont Elon Musk. L’objectif de l’entreprise est de développer des technologies d’intelligence artificielle, en les rendant accessibles à tous puisque l’entreprise a d’abord été créée en tant qu’association à but non lucratif.

L’effet rebond: se manifeste dès que les gains de consommation énergétique sont moins que proportionnels aux gains d’efficacité individuels. Il peut être d’ampleur variable. Si une machine permet d’économiser 10% de combustible, mais que la consommation de combustible ne baisse que de 8%, on parlera déjà d’effet rebond.

Comment pouvons-nous réduire de manière efficace l’empreinte carbone croissante de l’industrie numérique, tout en continuant à répondre à la demande croissante de services en ligne, de dispositifs électroniques et de données, et en tenant compte des implications sociales, économiques et environnementales de ces actions ?

La promotion de la sobriété numérique nécessite une approche multidimensionnelle. Tout d’abord, il est essentiel de repenser la conception des technologies pour qu’elles soient plus économes en énergie et durables. Cela pourrait impliquer des normes plus strictes en matière d’efficacité énergétique pour les appareils électroniques, des incitations à la réparation plutôt qu’au remplacement, et la conception de logiciels optimisés pour une utilisation plus efficiente des ressources.

De plus, il est crucial de sensibiliser les utilisateurs aux impacts environnementaux de leurs activités numériques et de les encourager à adopter des comportements plus responsables, tels que la réduction de la consommation de données, la suppression des données inutiles et la limitation de la surconsommation numérique. La mise en place de politiques de tarification de l’énergie en fonction de l’utilisation numérique pourrait également inciter à la sobriété.

Enfin, il est nécessaire de favoriser la recherche et le développement de technologies innovantes qui metteront en place la sobriété numérique, telles que réduire les data centers alimentés par des énergies renouvelables et les avancées dans le stockage de données économe en énergie. Il est essentiel de trouver un équilibre entre l’innovation technologique, la qualité de vie des utilisateurs et la durabilité environnementale pour réussir à atteindre la sobriété numérique.

L’empreinte carbonne du numérique; La sobriété numérique; data center; déchets électronique; l’empreinte carbonne du numérique; enjeux du numérique; le numérique; La loi REEN; réduire l’empreinte environnementale du numérique;

• https://www.arcep.fr/la-regulation/grands-dossiers-thematiques-transverses/lempreinte-environnementale-du-numerique.html
• https://ecoinfo.cnrs.fr/thematiques/ressources-et-e-dechets/deee-ou-e-dechets/
• https://www.grizzlead.com/sobriete-numerique/#:~:text=Annuler%20la%20r%C3%A9ponse-,D%C3%A9finition%20de%20la%20sobri%C3%A9t%C3%A9%20num%C3%A9rique,et%20connect%C3%A9s%20qui%20nous%20entourent.
• https://www.cisco.com/c/fr_fr/solutions/data-center-virtualization/what-is-a-data-center.html
• https://ecoinfo.cnrs.fr/thematiques/ressources-et-e-dechets/deee-ou-e-dechets/
• https://www.hellocarbo.com/blog/reduire/empreinte-carbone-numerique/
• https://www.touteleurope.eu/dossier/enjeux-numerique/
• https://talentsdunumerique.com/le-numerique
• https://www.ecologie.gouv.fr/numerique-responsable#:~:text=une%20%C3%A9conomie%20circulaire-,La%20loi%20visant%20%C3%A0%20r%C3%A9duire%20l’empreinte%20environnementale%20du%20num%C3%A9rique,autour%20de%20cinq%20objectifs%20cl%C3%A9s
• https://etudestech.com/decryptage/open-ai-chat-gpt-intelligence-artificielle/

Notre thématique de veille: Dans quelle mesure sommes nous conscients de l’empreinte carbone de nos activités numériques quotidiennes ?

Notre thématique abordera un sujet important qui est notre l’empreinte carbone numérique

Trouver des solutions qui permettrons de diminuer l’empreinte carbone numérique.

#19septembre2023

Est un enjeu majeur du monde numérique et cela pour plusieurs raisons :

• Il y a une croissance exponentielle de l’utilisation des technologies numériques
  Avec la prolifération des smartphones, des ordinateurs, des tablettes et d’autres appareils ocnnectés, l’utilisation du numérique est en constant augmentation. Cela entraine une consommation accrue d’énergie et de ressources pour alimenter ces dispositifs et maintenir les infrastructures numériques, ce qui a un impact direct sur l’envrionnement.

• Sensibilisation et responsabilisation
  L’impact environnemental du numérique soulève des préoccupations quant à la responsabilité des utilisateurs et des entreprises technologiques. Les étudiants, en tant que futurs leaders et consommateurs, doivent être conscients de ces eneux pour contribuer à des pratiques numériques plus durables.

• La dépendance des étudiants aux numériques
  Aujourd’hui, les habitudes d’utilisation numérique des étudiants sont très importante, notamment la dépendance aux smartphoes, l’utilisation des ordinateurs pour les études, les médias sociaux, et les jeux en ligne. Il est intéressant d’examiner comment ces comportements numériques ocntribuent à l’empreinte environnementale.

• L’obsolescence rapide des équipements
  On peut se poser la question aussi sur les produits électroniques qui ont souvent une durée de vie limitée, car de nouveaux modèles sont constamment mis sur le marché. Cela encourage la surconsommation et génère des déchets électroniques (e-waste) difficiles à gérer.

• La consommation énergétique
  Les centres de données (data centers) qui hébergent des services en ligne, des applications web et des infrastructures cloud nécessitent d’importantes quantités d’énergie pour fonctionner.
  Le refroidissement de ces centres de données est également énergivore. Cette consommation d’énergie a un impact direct sur les émissions de gaz à effet de serre.

• Extraction de ressources
  La fabrication de dispositifs électroniques et de composants nécessite l’extraction de métaux rares et d’autres ressources naturelles ,ce qui peut entraîner la dégradation de l’environnement et la destruction d’habitats naturels.

En résumé, notre thématique est un enjeu du numérique car elle explore comment l’utilisation croissante des technologies numériques affecte l’environnement, à travers la consommation d’énergie, la production de déchets, les émissions de gaz à effet de serre, et l’exploitation des ressources. compendre cet impact est essentiel pour promouvoir une utilisation plus responsable du numérique et pour prendre des mesures en vue d’atténuer ses conséquences environnementales.

#26septembre2023

La réduction de la consommation personnelle de données : Les étudiants peuvent prendre des mesures pour réduire leur consommation de données en utilisant le Wi-Fi plutôt que les données mobiles lorsque c’est possible, en évitant de diffuser en continu des vidéos en haute résolution, en désactivant les mises à jour automatiques des applications, etc. Cela peut contribuer à réduire la charge sur les infrastructures numériques.

L’adoption de pratiques d’économie d’énergie : Les étudiants peuvent éteindre leurs appareils électroniques lorsqu’ils ne les utilisent pas, régler l’écran de leur ordinateur portable pour qu’il s’éteigne plus rapidement en cas d’inactivité, ou investir dans des multiprises à économie d’énergie pour réduire la consommation d’électricité en mode veille.

La gestion des déchets électroniques : Les étudiants peuvent choisir de recycler ou de donner leurs anciens appareils électroniques au lieu de les jeter. Ils peuvent également rechercher des programmes locaux de collecte des déchets électroniques pour s’assurer que ces produits sont correctement éliminés.

La sensibilisation et l’éducation des pairs : Les étudiants peuvent jouer un rôle actif en sensibilisant leurs camarades de classe et leurs amis aux enjeux de l’empreinte carbone numérique. Ils peuvent organiser des ateliers, des conférences ou des événements pour partager des informations et encourager des pratiques plus durables.

L’utilisation de moteurs de recherche éco-responsables : Les étudiants peuvent opter pour des moteurs de recherche éco-responsables qui compensent leur empreinte carbone en plantant des arbres ou en soutenant des projets environnementaux. Cela permet de réduire l’impact environnemental des recherches en ligne.

La promotion de logiciels open source et de matériel réparable : Les étudiants peuvent soutenir des initiatives visant à promouvoir l’utilisation de logiciels open source et de matériel électronique réparable, ce qui contribue à prolonger la durée de vie des appareils et réduit la production de déchets électroniques.

La participation à des campagnes de sensibilisation en ligne : Les étudiants peuvent rejoindre des mouvements en ligne et des campagnes de sensibilisation qui encouragent des pratiques numériques plus durables, telles que les “Journées sans écrans” ou les campagnes de réduction des courriels non nécessaires.

En s’engageant dans ces actions, les étudiants peuvent avoir un impact significatif sur la réduction de leur propre empreinte carbone numérique, tout en encourageant d’autres personnes à adopter des pratiques similaires.

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Synthèse hebdomadaire avec chacune des références principales

#article1
#03octobre2023
Titre:

L’article explore les principaux facteurs contribuant à cette empreinte environnementale, notamment la production et la commercialisation des équipements numériques, et met en évidence l’importance de la sobriété numérique, du recyclage des équipements, de la gestion de la consommation et des politiques publiques pour réduire l’impact environnemental du numérique.

#article2
#03octobre2023
Titre:

L’analyse de l’article: Cet article est pertinent pour notre veille car il met en lumière les défis significatifs auxquels nous sommes confrontés en matière de pollution numérique, en particulier l’impact environnemental du secteur numérique en constante expansion. Il soulève la question cruciale de la durabilité dans le domaine numérique, en mettant en évidence des domaines clés tels que la production d’équipements, la gestion de la consommation et le recyclage.

De plus, il souligne le rôle des politiques publiques dans la promotion de pratiques numériques plus respectueuses de l’environnement. En outre, L’article met également en évidence la complexité de la mesure de l’empreinte numérique, ce qui soulève des questions sur la manière dont les entreprises peuvent évaluer et réduire leur impact environnemental.

En somme, il offre une perspective complète sur les enjeux actuels liés à la pollution numérique et aux efforts visant à créer un numérique plus durable pour l’avenir.

#article3

Titre: SOBRIÉTÉ NUMÉRIQUE ET ARCHITECTURE D’ENTREPRISE
Ce texte traite du rôle de l’architecte d’entreprise dans la prise en compte de la dimension écologique au niveau de la stratégie d’une entreprise. Il aborde plusieurs points clés liés à cette question :

Ce texte traite du rôle de l’architecte d’entreprise dans la prise en compte de la dimension écologique au niveau de la stratégie d’une entreprise. Il aborde plusieurs points clés liés à cette question :

La montée en importance de la sobriété numérique et des préoccupations environnementales dans les stratégies des entreprises.

Les conséquences de la digitalisation sur l’environnement, notamment en termes de consommation de ressources numériques et d’empreinte environnementale.

Le rôle de l’architecture d’entreprise dans l’intégration des aspects environnementaux dans la stratégie de l’organisation.

Comment l’architecte d’entreprise peut contribuer à promouvoir la sobriété numérique au sein de la roadmap stratégique de l’entreprise en intégrant les préoccupations environnementales dans les projets de transformation.

L’importance de l’acculturation de toutes les parties prenantes de l’organisation à la sobriété numérique, et comment une entreprise comme Projexion peut accompagner les entreprises dans cette démarche.

Dans l’ensemble, le texte met en avant l’idée que la dimension environnementale, en particulier la sobriété numérique, est devenue essentielle pour les entreprises en raison de l’impact croissant de la digitalisation sur l’environnement. Il souligne également le rôle crucial de l’architecture d’entreprise et de l’architecte d’entreprise pour intégrer ces préoccupations dans la stratégie globale de l’entreprise.

#article4

1. Savoir, vouloir et faire : quelles pratiques de sobriété numérique ? : https://www-cairn-info.accesdistant.bu.univ-paris8.fr/l-etat-du-management-2023–9782348078606-page-6.htm
   Cette source traite de la relation entre le savoir, la volonté et l’action dans le contexte de la sobriété numérique. Elle s’appuie sur la littérature en psychologie sociale et en sciences de gestion qui explore les déterminants des comportements pro-environnementaux. En général, ces comportements sont précédés par une intention, et différents facteurs, tels que les normes sociales, les normes individuelles et la connaissance d’un problème, influencent cette intention. Dans le contexte de la sobriété numérique, où les comportements visent à réduire la consommation numérique, l’analyse vise à comprendre comment la connaissance, la volonté et l’action sont liées chez les individus. L’objectif est de déterminer si les comportements de sobriété numérique sont motivés par une intention de sobriété, qu’elle soit numérique ou non, et par des connaissances sur le sujet. Pour ce faire, l’étude a construit un indice pour évaluer chaque composante des pratiques de sobriété numérique, à savoir le savoir, la volonté et l’action.

#article5

2. Consommation énergétique des usages du numérique en France : https://www.cairn.info/revue-responsabilite-et-environnement-2023-2-page-14.htm
   Ce texte décrit le contexte de la consommation numérique en France et les évolutions depuis 2018. En 2018, la France était déjà bien équipée en appareils numériques, et la consommation électrique due à ces usages était principalement alimentée par une électricité déjà peu émettrice de carbone. Cependant, la majeure partie de l’empreinte environnementale était due à l’importation des équipements.
   Les conclusions du rapport CGE de l’époque indiquaient que la consommation électrique globale tendait à diminuer en raison de l’efficacité croissante des dispositifs, mais que la croissance future dépendrait des nouveaux usages numériques tels que l’Internet des objets (IoT), la blockchain, l’intelligence artificielle (IA), etc. Le rapport soulignait également le manque de données sur le parc installé et la consommation élémentaire de chaque appareil.
   Depuis 2018, des politiques environnementales ont été mises en place en France, notamment une loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique. Cette loi prévoit l’étiquetage des produits numériques selon différentes catégories environnementales et la création du “Haut comité sur le numérique écoresponsable” chargé d’établir une feuille de route sur le verdissement de la filière numérique.
   En résumé, le texte explique comment la consommation numérique en France a évolué depuis 2018, mettant en avant les politiques et les mesures prises pour réduire l’impact environnemental du numérique.

#article6

3. L’empreinte environnementale du numérique : https://www.arcep.fr/la-regulation/grands-dossiers-thematiques-transverses/lempreinte-environnementale-du-numerique.html
   C’est un article de l’arcep qui évoque le fait que l’on doit sensibilisé sur la l’empreinte environnementale du numérique. Cet article s’appuie sur également sur d’autres sources comme l’arcom et l’Ademe où ils présentent des statistiques sur nos usages du numériques par exemple combien d’appareils numériques nous possédons dans nos foyers.
   L’Arcom est l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique. Elle est garante de la liberté de communication et veille au financement de la création audiovisuelle et à la protection des droits. Sa régulation s’étend aux plateformes en ligne – réseaux sociaux, moteurs de recherche…
   Même idée sur l’article 2 mais sur une autre source avec d’autres statistiques.

1er article centré sur la psychologie de la sobriété numérique. Le 2e et 3e est plus centré sur nos usages du numériques.

notion : effet de bord.

Deux actualités sur notre thématique:

#17octobre2023
#article7

Lien: https://www.alliancy.fr/sobriete-numerique-reparabilite-californie-fera-t-elle-mieux-que-france

Titre: Sobriété numérique et réparabilité : la Californie fera-t-elle mieux que la France ? par Dorian Marcellin - le 13 octobre 2023

La Californie se distingue en adoptant deux lois pour promouvoir la sobriété numérique. Le “Delete Act” renforce la suppression des données personnelles, tandis qu’une loi sur la réparabilité exige que les appareils électroniques de plus de 100 dollars soient réparables pendant au moins sept ans, sous peine d’amendes. Les géants technologiques comme Apple et Google se rallient à cette approche, reconnaissant que la réparabilité est cruciale pour réduire l’impact environnemental du numérique. Comparativement, la loi REEN en France, bien qu’innovante, présente des lacunes et ne va pas aussi loin dans la promotion de la durabilité. Cependant, l’Arcep et l’Arcom lancent une consultation publique pour élaborer un référentiel d’écoconception des services numériques, visant à accroître la durabilité et la transparence environnementale. La question demeure : la France sera-t-elle bientôt dépassée par la Californie en matière de sobriété numérique, malgré son statut de pionnière dans ce domaine ?

#article8

Titre : Comment Bordeaux Métropole transforme son offre numérique en surveillant son impact environnemental ?
Site : Usine Digitale
Auteur : Aurélien Defer, publié le 10 octobre 2023
Lien : https://www.usine-digitale.fr/article/comment-bordeaux-metropole-transforme-son-offre-numerique-en-surveillant-son-impact-environnemental.N2180312
Bordeaux cherche à transformer son offre numérique tout en surveillant son impact environnemental.

ils mesurent l’empreinte environnementale de leurs services numériques grâce à une application appelée My IT Footprint, afin de prendre des décisions basées sur l’impact carbone.

Bordeau se concentre également sur la réduction de son empreinte environnementale, notamment en reconditionnant des équipements informatiques.

L’objectif global est de guider la politique numérique de Bordeaux dans un contexte d’urgence climatique.

Pour la prochaine veille : la problématique de l’impact du numérique sur l’IA

Resume des 3 articles:
- ces articles montrent que les chercheurs en question sont inquiets a propos de l’utilisation de l’IA.

#lasobriéténumérique
#datacenter
#déchetsélectroniques
#lempreintecarbonnedunumérique
#lenumérique
#enjeuxdunumérique
#réduirelempreinteenvironnementaledunumérique
#laloiREEN
#lesdee
#openai
#chatgpt

Deux actualités sur notre thématique:
#24octobre2023

#article9

Titre : L’IA pointée du doigt pour son coût environnemental astronomique
Site : Les Echos https://www.lesechos.fr/tech-medias/intelligence-artificielle/lia-pointee-du-doigt-pour-son-cout-environnemental-astronomique-1913779
Auteur : Joséphine Boone, Publié le 9 mars 2023
L’article discute de l’impact énergétique croissant de l’intelligence artificielle (IA). Avec l’arrivée de modèles d’IA comme ChatGPT, le secteur de l’IA devient de plus en plus gourmand en énergie.

l’article souligne que si le numérique a déjà un impact environnemental majeur (production d’appareils, alimentation, stockage des données ect), et bien l’intelligence artificielle est encore plus gourmande en énergie : la mise à jour (l’apprentissage) d’un simple modèle d’IA pourrait absorber l’équivalent de la consommation de 100 foyers américains sur un an. Et chaque modèle doit être régulièrement entraîné pour être au fait des nouvelles informations.

Plus les systèmes d’IA sont performants, plus ils consomment. Les chercheurs estiment que la mise au point d’un algorithme simple pour une IA ne représente que 40 % de la consommation réelle de l’outil : la majeure partie de l’impact écologique se fait en aval, avec des entraînements réguliers et l’enregistrement des demandes des utilisateurs.

#article10

Le coût environnemental de l’IA fait de nouveau débat:
https://www.lesnumeriques.com/societe-numerique/le-cout-environnemental-de-l-ia-fait-de-nouveau-debat-n207872.html

Il évoque les préoccupations environnementales liées à l’utilisation croissante de l’IA et de chatbots comme ChatGPT, Microsoft Bing, et Google Bard. L’article mentionne que l’apprentissage de ces modèles d’IA est gourmand en énergie et souligne que leur consommation d’électricité augmente à mesure que ces modèles se développent en taille et en complexité.

L’article donne des exemples concrets de la consommation d’énergie et des émissions de carbone associées à ces modèles, ainsi que des estimations sur la quantité d’énergie que l’IA peut consommer à l’échelle de grandes entreprises, comme Google. Il met en évidence les défis liés à la réduction de l’empreinte carbone de l’IA et évoque des solutions potentielles, comme la programmation des mises à jour pour les moments où l’énergie est moins chère.

Donc, l’article aborde l’impact environnemental du numérique, en particulier de l’IA, et montre comment l’utilisation croissante de ces technologies peut avoir un effet significatif sur la consommation d’énergie et les émissions de carbone.

#article11

https://affordance.framasoft.org/2023/08/guerre-eau-et-des-donnees/