Méthodes de recherche qualitative et quantitative

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created: 2023-04-20

updated: 01:19:27 - January 6, 2024

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Méthodes de recherche qualitative et quantitative

Enquête

Enquête

La sobriété numérique est un sujet qui nous concerne tous. Nous avons choisis d’évoquer ce sujet car il est important de sensibiliser les jeunes à la sobriété numérique car c’est eux qui vont construire l’avenir. Il est donc important d’avoir conscience de l’impact numérique mais aussi de son propre impact numérique pour pouvoir faire changer les habitudes.

Passons donc au compte-rendus de notre journal de bord en commençant par un rappel de notre question de recherche.

Problématique

Problématique

Comment les jeunes, fortement immergés dans la culture numérique, perçoivent-ils et s’engagent-ils face aux enjeux environnementaux liés à leurs pratiques numériques, et quelles sont les barrières et les leviers influençant leur volonté de réduire leur empreinte carbone numérique ?

Mais nous allons passer au résultat du questionnaire que nous avons mis en ligne.

Résultat du questionnaire

Résultat du questionnaire

Notre questionnaire a révélé que la possession de smartphones est quasi-universelle parmi les participants, avec une répartition notable entre les systèmes Android et iOS. Les utilisateurs consultent fréquemment leur téléphone, dépassant souvent plusieurs heures par jour. En plus des smartphones, une grande majorité des participants possède divers appareils connectés.

En ce qui concerne les habitudes en ligne, tous les participants ont indiqué qu’ils consomment des contenus en streaming, avec une majorité le faisant quotidiennement. Une dépendance aux applications numériques est également apparue, avec une majorité utilisant un nombre considérable d’applications chaque jour. Les réseaux sociaux jouent un rôle prédominant dans leurs activités en ligne, avec une utilisation notable de plateformes comme Twitter et Instagram.

La majorité des participants consacre une grande partie de leur journée à des activités en ligne, avec une proportion significative d’entre eux consacrant plusieurs heures par jour à ces activités. Parallèlement à cela, la majorité des participants utilise activement leur adresse e-mail, bien que les fréquences d’utilisation varient.

En ce qui concerne la sobriété numérique, une forte proportion des participants la définit comme une réduction de l’utilisation des technologies. Cependant, une petite fraction croit que cela signifie une élimination totale du numérique. Concernant l’impact environnemental de leurs activités numériques, une gamme d’opinions a été exprimée, allant de ceux qui estiment que leur impact est modéré à ceux qui croient qu’il est significatif.

Il est à noter qu’une majorité des participants ont déjà pris des mesures pour réduire leur impact numérique, et beaucoup sont ouverts à l’idée d’adopter des pratiques plus durables, telles que l’utilisation de dispositifs électroniques reconditionnés. Toutefois, des défis subsistent, notamment la dépendance perçue aux appareils numériques, le manque de connaissances et la pression sociale pour rester constamment connecté.

Bien que l’étude ait été menée sur un échantillon limité, elle met en lumière une dépendance croissante aux technologies numériques parmi les participants, associée à une prise de conscience croissante de leur impact environnemental. Les résultats suggèrent un désir de changement et d’adoption de pratiques plus durables, mais des obstacles tels que la dépendance et le manque de connaissances doivent être surmontés. Il est donc crucial de sensibiliser et d’éduquer davantage sur la sobriété numérique pour façonner un environnement numérique plus responsable et durable.

Résultat de l’entretien

Résultat de l’entretien

Il faut savoir que nous avons mené malheureusement que deux entretiens, un réalisé par Ayoub et l’autre Steve.

Compte-rendus entretien de Steve :

L’entretien a abordé plusieurs aspects de la sobriété numérique, en commençant par une définition centrée sur la conscience environnementale. Selon l’interviewé, la sobriété numérique est une prise de conscience de l’impact environnemental des appareils électroniques et la nécessité de réduire la consommation d’énergie, par exemple, en éteignant les appareils.

L’interviewé exprime des préoccupations quant à l’impact environnemental des usages numériques actuels. Il souligne la croissance exponentielle de la consommation énergétique due à la multiplication des appareils et la manière dont les gens négligent souvent l’impact écologique de leurs actions.

Les avantages d’une adoption de pratiques numériques plus sobres sont principalement liés à la réduction de l’empreinte carbone et à des économies d’énergie, mais l’interviewé reconnaît également les défis tels que les coûts associés aux technologies écologiques et la difficulté de changer les habitudes des consommateurs.

Le rôle des universités dans la promotion de la sobriété numérique est perçu comme étant principalement axé sur la sensibilisation, tout en adoptant des pratiques écologiques en interne. L’intelligence artificielle est envisagée comme une solution potentielle pour optimiser la consommation d’énergie, mais l’accent est mis sur le comportement individuel, comme éteindre les appareils non utilisés.

Les principales barrières à l’adoption de pratiques numériques plus sobres incluent l’innovation constante et les coûts associés, ce qui nécessite une sensibilisation et une formation pour encourager le changement de comportement. L’interviewé insiste sur le rôle crucial des gouvernements dans la régulation et la promotion de pratiques numériques responsables, soulignant le besoin d’une réglementation plus stricte et d’une coopération internationale.

En ce qui concerne les étudiants, ils sont considérés comme des acteurs clés dans la sensibilisation à la sobriété numérique, notamment par le biais d’événements et de discussions. Enfin, l’interviewé reconnaît l’incertitude quant à l’avenir de la sobriété numérique mais insiste sur la nécessité d’actions gouvernementales et des institutions pour inciter au changement.

Compte-rendus entretien Ayoub :

Avant de commencer mon entretien, je me suis assuré que le lieu soit calme pour que ça nous permette à moi et à la personne interrogée de se concentrer à poser mes questions et pour que la personne interrogée reste concentrée. Ensuite, j’ai expliqué les règles de l’entretien à la personne interrogée. De plus, il nous fallait plus de temps que prévu pour finir l’entretien avec la personne interrogée.

La personne intérogée dit connaître la sobriété numérique, telle que définie lors de l’entretien, se réfère à une prise de conscience de l’impact environnemental des appareils électroniques. Cela implique la reconnaissance de la nécessité de réduire la consommation d’énergie, par exemple, en éteignant les appareils lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Enfin, la personne intérogée exprime sa volonté de réduire son utilisation des technologies numériques plutôt que de les abandonner complètement car elle en a besoin dans sa vie quotidienne.

Les préoccupations environnementales soulevées lors de l’entretien mettent en lumière l’impact croissant des usages numériques actuels sur la consommation énergétique. L’interviewé souligne la nécessité de sensibiliser les individus à cet impact et de les encourager à prendre des mesures pour réduire leur empreinte carbone. La personne intérogée me donne deux exemples interessants pour me faire comprendre qu’elle a conscience de l’impact environmental du numérique:

-Elle dit qu’elle préfère un ordinateur portable qui consomme moins qu’un ordinateur de bureau et optimise les réglages d’utilisation de la batterie.

-De plus, elle dit qu’elle fera attention aux pièces jointes qu’elle reçoit et ne les ouvre que si nécessaire car certaines sont très volumineuses et dépensent beaucoup d’énergie.

-De même, elle dit ne pas télécharger trop de fichiers en HD et ne pas laisser son appareil en veille.

Les avantages évoqués lors de cet entretien sont principalement liés à la réduction de l’empreinte carbone et à des économies d’énergie notammant ces réponses qui reflètent un point de vue individuel et personnel mais soulignent des tendances significatives dans la manière dont cette personne interagit avec la technologie et envisage des changements pour soutenir des pratiques plus durables. La personne interviewée pense que la sobriété numérique offre ainsi la possibilité de minimiser l’impact négatif sur l’environnement tout en permettant des pratiques technologiques plus durables.

La personne interviewée pense que le rôle des universités dans la promotion de la sobriété numérique est perçu comme axé sur la sensibilisation et l’adoption de pratiques écologiques en interne. Donc, elle pense que les institutions éducatives peuvent jouer un rôle crucial et important en guidant les étudiants vers des comportements numériques plus responsables en leur proposant des matières pour les sensibiliser vers un monde numérique sobre.

Pour l’interviewé, l’intelligence artificielle est considérée comme une solution potentielle pour optimiser la consommation d’énergie. La personne interviewée me dit que l’accent doit être mis sur le comportement individuel car pour elle aussi les actions simples peuvent faire la différence, telles que l’extinction des appareils non utilisés, et d’autres exemples donnés par l’l’interviewé.

Pour l’interviewé, les principales barrières identifiées comprennent l’innovation constante et les coûts associés aux technologies écologiques. Pour surmonter ces obstacles, l’interviewé me dit que la sensibilisation et la formation sont considérées comme essentielles et importantes pour encourager le changement de comportement.

L’interviewé insiste sur le rôle crucial des gouvernements dans la régulation et la promotion de pratiques numériques responsables. Cela inclut la nécessité d’une réglementation plus stricte et d’une coopération internationale pour aborder efficacement les défis environnementaux.

L’interviewées pense que les étudiants sont considérés comme des acteurs clés dans la sensibilisation à la sobriété numérique en organisant des événements et des discussions peuvent être des moyens efficaces pour encourager les étudiants à adopter des pratiques numériques plus durables.

L’interviewé reconnaît l’incertitude quant à l’avenir de la sobriété numérique mais insiste sur la nécessité d’actions gouvernementales et institutionnelles pour inciter au changement. Les résultats de l’entretien soulignent l’importance d’anticiper et d’adresser les défis futurs pour une transition réussie vers des pratiques numériques plus sobres.

Analyse et interprétation

Analyse et interprétation

Les deux entretiens mettent en avant la sobriété numérique en tant que prise de conscience de l’impact environnemental des appareils électroniques, soulignant les préoccupations liées à la croissance exponentielle de la consommation énergétique.

D’abord, les avantages, tels que la réduction de l’empreinte carbone, sont évoqués, tout en reconnaissant les défis des coûts et du changement comportemental. De plus, les universités sont perçues comme des agents de sensibilisation, et l’intelligence artificielle est envisagée comme une solution potentielle.

Par ailleurs, les barrières comprennent l’innovation constante et les coûts, nécessitant sensibilisation et formation; les interviewés soulignent le rôle crucial des gouvernements, insistant sur la nécessité de réglementations strictes. Ensuite, les étudiants sont considérés comme des acteurs clés, et malgré l’incertitude, une action gouvernementale et institutionnelle est jugée nécessaire pour stimuler le changement vers des pratiques numériques plus responsables.

Enfin, Les personnes interrogées expriment une volonté de réduire leur utilisation des technologies, mettant en avant des pratiques éco-responsables, reflétant ainsi une tendance significative vers des changements personnels pour soutenir des pratiques numériques durables.

Conclusion

Conclusion

Les deux entretiens sur la sobriété numérique mettent en lumière une prise de conscience croissante de l’impact environnemental des usages numériques actuels. À travers les perspectives partagées par les interviewés, il est clair que la sobriété numérique ne se limite pas à une simple réduction de la consommation énergétique, mais englobe également une sensibilisation profonde aux pratiques responsables et durables dans le domaine technologique.

La complexité de la question se manifeste à travers les avantages potentiels et les défis associés à l’adoption de pratiques numériques plus sobres. Les technologies ne cessent de croître, comme avec par exemple les intelligence artificielles, qui offrent des opportunités d’optimisation et de réduction de l’empreinte carbone, mais qui représente également un défis à surmonter. Il est essentiel de connaître et mais aussi de prévoir des solutions qui ne sont pas réellement des solutions et qui entravent un développement plus sain de notre planète.

La responsabilité collective, notamment celle des gouvernements, des institutions éducatives et des individus, est cruciale pour façonner un avenir numérique plus durable. La formation, la sensibilisation et la réglementation sont des outils essentiels dans cette quête, nécessitant une collaboration et une action concertée à l’échelle mondiale.

En fin de compte, à travers les questionnaires et les entretiens, nous remarquons qu’il est important d’agir et d’adopter une approche qui couvre plusieurs domaines de la société pour intégrer la sobriété numérique dans notre quotidien, dans le but qu’il y est une coexistence harmonieuse entre la technologie et l’environnement.

Tableau de bord

Tableau de bord

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